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« Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu et vous avez vaincu ces prétendus prophètes parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. » (1 Jean 4 : 4) Jésus ne prononçait pas des paroles en l’air lorsqu’il priait ce que nous appelons aujourd’hui le Notre Père. Ses prières étaient une suite logique de pétitions se terminant par cette dernière prière : « Délivre-nous du malin » (Matthieu 6 : 13 – LSG). Lucifer, étant l’un des anges les plus élevés dans le ciel, pensait pouvoir prendre le trône légitime de Dieu. C’est l’orgueil qui a transformé cet ange en chef en diable en chef. C’est l’orgueil qui l’a fait sortir de la cour des cieux et l’a plongé dans le gouffre de l’enfer. Et c’est encore l’orgueil qu’il essaie toujours de reproduire en nous. Cette requête particulière concerne notre volonté. Le péché originel de Satan était l’orgueil, et l’orgueil attaque la volonté. Nous pouvons mémoriser les Écritures et les lire […]

« Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres. » (Jean 8 : 36) Connaître Christ, c’est connaître la vraie liberté. Jésus est le seul moyen pour nous d’être libérés de l’esclavage du péché. Nous devons notre liberté spirituelle à Jésus-Christ, qui l’a payée sur la croix. Jésus lui-même a dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples, vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres » (Jean 8 : 31-32). Le sacrifice de Dieu pour nous ne se mesurait pas en termes de dépenses financières ou de coûts politiques. Quand Jésus est venu sur terre, il a sacrifié sa gloire et sa splendeur indicibles au ciel pour marcher parmi nous. Il a enduré plus de douleur physique et émotionnelle dans ses derniers jours que nous ne pouvons l’imaginer. Suspendu à la croix, il a connu la douleur spirituelle d’être séparé du Père. Il a payé pour nos péchés par son propre sang. Dieu lui-même – le tout-puissant Créateur, […]

« Que Dieu soit remercié, lui qui nous fait toujours triompher en Christ et qui propage partout, à travers nous, le parfum de sa connaissance ! » (2 Corinthiens 2 : 14) La Bible est un conte de deux villes : la Cité de l’Homme et la Cité de Dieu. Nous pouvons retracer ces deux villes depuis les premières pages de la Genèse jusqu’aux derniers paragraphes du livre de l’Apocalypse. La Cité de l’Homme est symbolisée par Babylone, Rome et encore aujourd’hui par la civilisation occidentale. En revanche, la Cité de Dieu est symbolisée par les élus de Dieu de toutes nations, tribus et générations. Les croyants qui vivent actuellement dans la Cité de l’Homme peuvent avoir l’impression de vivre à une époque particulièrement mauvaise. Mais l’Évangile de Jésus-Christ promet qu’un jour tous les croyants connaîtront le meilleur. Lisez Genèse 4 : 1-16. Nous y voyons que ces deux villes opposées commencent à prendre forme dans la vie des enfants d’Adam et Ève. Abel représente la Cité de Dieu. […]

« Il n’y aura plus de nuit et ils n’auront besoin ni de la lumière d’une lampe ni de celle du soleil, parce que le Seigneur Dieu les éclairera. » (Apocalypse 22 : 5) Tout au long de la Bible, nous voyons Dieu diriger et réconforter son peuple par la présence de sa sainte lumière. En Exode, la neuvième plaie frappant les Égyptiens consistait en des ténèbres si épaisses que les gens ne se voyaient pas l’un l’autre. Toutefois, les enfants d’Israël avaient de la lumière chez eux (voir Exode 10 : 21-23). Le Christ Jésus, lumière du monde, brille non seulement dans les cœurs et les esprits de ceux qui le suivent, mais aussi dans leur foyer et leur demeure. Une fois Israël libéré de l’esclavage égyptien, le Seigneur les conduisit hors du pays : L’Éternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider sur leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils puissent […]

« Personne n’est saint comme l’Éternel. Il n’y a pas d’autre Dieu que toi, il  n’y a pas de rocher pareil à notre Dieu. » (1 Samuel 2 : 2) Aujourd’hui, de nombreux parents travaillent d’arrache-pied pour que leurs enfants soient bien intégrés avec leurs camarades, dépensant au-delà de leurs moyens pour leur offrir les derniers vêtements et technologies à la mode. Ils vont même jusqu’à compromettre leurs principes pour aider leurs enfants à se fondre dans la masse. Ces parents ont prêté attention au mensonge selon lequel être différent est mauvais et malsain. Par conséquence, on enseigne à la nouvelle génération comment se conformer à la pression sociale. Mais on passe à côté d’une leçon essentielle : comment résister à la culture. Nous rendons souvent gloire à Dieu de ce que nous vivons dans un pays libre alors qu’en réalité, nous sommes esclaves de la conformité. Nous sommes esclaves des modes et des tendances. Nous sommes esclaves de ce que les autres pensent de nous. […]